23/12/2009
Conjoncture-Conjecture-Conjonctivite
21/12/2009
12/12/2009
Pastel
A l'occasion du mariage d'un membre éminent du G. Ca.Bo.
&, (dans l'élan pour ses 50 ans) Le Barbouilleur maison lui a tiré le portrait.
Pardonnez-lui son air niais.On ne se marrie pas tous les jours.
Pastel sur canson beige.
Photo: série_ 14 H.
09/12/2009
Dessin: les Couac...?
Mais même dieu dans son infinie sagesse à tâtonné, douté.
Et enfin! à partir de croquis préparatoire Le résultat là!
(On peut croire qu'il est la cause de ces deux orifices. Car a ce stade rien n'est encore ingéré/digéré.) Ndlr
Quoi qu'il en soit!
nous avons demandé à notre dessinateur Yak's B.C.
de se collé à sa tablette graphique et de nous le mettre en couleur.
Pour le plaisir de vos yeux.
07/12/2009
Mots maux meurt
La science médicale fait de grands progrès ;
On ne meurt plus de nos maladies. On vit de plus en plus vieux.
D’ailleurs même le ridicule ne tue plus.
Tous sont d’accord :
La bipédie est L’ AVÈNEMENT de l’humanité ;
Mais tous
Les gens ‘Chambordisent’ ; comme ces escaliers qui se croisent mais ne se rencontrent jamais.
06/12/2009
Le Monde Merveilleux des Bonbons
Boitier de montre; bonbon à la tapette & oisô/bonbon.
16/11/2009
15/11/2009
Le Monde Merveilleux des Bonbons
Peinture acrylique: 33x48 , pastel gras,rouge a lèvre, & tout & n'importe quoi! & collage
propriété du musée De Stadshof
12/11/2009
Le voyage D'épistèmé...
continuation d'une chose interrompue: travail fait à plusieurs reprises. Réparation à une étoffe: faire une reprise à un bas. Réparation à un mur, un pilier, etc. Remise en scène au théâtre; La reprise d'un drame. A plusieurs reprise, plusieurs fois, successivement.
09/11/2009
Collage
Il y a d'abord une époque où l'on croit tout sans raison, puis un bref instant où l'on ne croit qu'avec circonspection, ensuite un âge où l'on croit plus en rien et, enfin, une saison où l'on croit de nouveau à tout, mais en connaissant les raisons qui nous font tout croire[...][F 1042]
G.C. Lichtenberg
Ma vie privée...à suivre....
Au parc...
Je suis assis sur un banc. Par terre des colonnes de fourmis courent çà et là et des milliers d’insectes rampent et grouillent en tous sens, en quête de nourriture, de sécurité ou des plaisirs de l’amour, sans laisser libre le moindre centimètre carré B. Traven Heureuse bête qui s’ignore ! Se connaître n’est-ce pas la démangeaison des imbéciles. G. Bernanos
Devant moi à gauche de l’entrée, Pan joue un air de flûte au pied d’une belle; (On dit qu’il était si laid à la naissance que sa mère s’enfuit de terreur en le voyant et Hermès l’emporta sur l’Olympe pour amuser les dieux.) La jeune demoiselle ne peut être Syrinx qu’il poursuivit du mont Lycée jusques aux bords du fleuve Ladon ; là, arrêtée dans sa course devant les ondes elle fut métamorphosée à sa demande, par ses sœurs, en roseaux. L’air agité à travers leurs chalumeaux avait produit un son léger. Le dieu charmé en fit une flûte, (que je vois là ! sur cette sculpture), pour l’avoir toujours auprès de lui. Ah Ovide !
Hélas le monde ne lit plus ni livres, ni journaux pour enrichir sa pensée ou son vocabulaire; discours simplifié au point qu’un nouveau venu (moi) ne le comprend pas toujours. Ils utilisent parfois des mots qu’ils sont les seuls à savoir interpréter. Ils pourraient parler pendant une demi-heure sans que je sache de quoi il retourne. J’écoute leur propos sur un fond d’indétermination et de possible malentendu. Il y a quelque temps que je ne pose plus de question d’ailleurs - Je ne connais plus de réponses, non plus, j’aime autant le dire tout de suite. J’en ai connues, dans le temps, et des meilleures, c’était ma seule compagnie. J’inventais même des phrases à l’interrogatif pour aller avec. S. Beckett
Je suis bien sur mon banc. Je n’ai guère notion du temps ou de l’espace. Je dis qu’il est une heure, mais je ne dis pas s’il s’agit d’une heure de course à la vitesse d’un kényan, ou de marche, ou de nage, ou alors monté sur un bon vélo. B. Traven
- On fait ce que peut, mais on ne peut rien. On se tortille, et le soir vous retrouve à la même place que le matin.
S. Beckett
03/11/2009
02/11/2009
Conjoncture-conjecture-conjonctivite
Suite...
Au commencement de toutes choses il n’y avait rien
...Bien
C’est entendu. Et puis il y eut transformation. Comme c’est "tout" qui peu à peu, s’est trouvé modifié du proche au lointain, il a bien fallu raconter. Saga. Epopée. Mythe. Grand tapage et action héroïque.
Le Monde prit forme.
Il y eut 4 ou 5 âges (les avis divergent) dit-on.
L’âge d’or: pas de loi pas de peur. On rêve : La foule ne tremblait pas en présence du juge. Les redresseurs de tort étaient inutiles à sa sécurité. Elle vivait sans travailler et n’avait aucun souci.
Aujourd’hui le Monde a peur ! Le danger vient de l’intérieur, qu’il s’agisse du terrorisme, des subprimes ou du dérèglement climatique. H1N1 AAHH !! Nous semblons nourrir l’adversaire à l’ombre de nous-même ; comme des cellules qui s’altèrent qui prolifèrent et génèrent des métastases.
L’homme ne regarde plus le ciel pour oublier ses craintes Trop chères! Non il se regarde un petit appendice bouchonné, d’autres complètements enfouis...et il mate à la belle saison, les défilés d'ombilics ; c'est l'occasion rêvée d'observer ceux des autres, d'étudier leur grande diversité. Etonnant comme ce petit bouton de chair est devenu en quelques années un argument de séduction, qui ne s'exhibe plus seulement sur la plage, mais dans les rues, les soirées et même parfois au travail.
En fait, si le nombril est indispensable à l'homme, ce n'est pas d'un point de vue fonctionnel. L'ombilic ne sert strictement à rien de mécanique. Mais ce serait un repère essentiel à la vie psychique, une sorte de «centre de gravité qui prend la forme d'une cicatrice de naissance et qui n'a pas d'autre utilité que de signer notre humaine condition»,
Notre désarroi est immense face au silence de l’univers et des dieux et de Dieu nom de dieu.
Et le
Vertige
01/11/2009
Mots maux meurt
Top 50
Le chien : Vouap dou ouap !
Le chat : À la mi-août
La chouette : Le fond de l’air effraie.
La poule : Viens poupoule.
*
Jadis les filles sentaient la chaire fraiche, aujourd’hui elles sentent les crèmes fraiches.
*
*
La vie ne doit pas avoir de nez puisque quand on l'embrasse trop on meurt.
30/10/2009
28/10/2009
Le voyage d'épistémé
Réaction [ak-sion] n.f. ( du préf. ré, et de action). La réaction est toujours égale à l’action. Action d'un corps sur un autre, qui agit ou vient d'agir sur lui. Fig. Tout ce qui agit en sens opposé: en politique, tout excès provoque une réaction. Spécialem. , Action d'un partit qui s'oppose au progrès et qui veut faire revivre les choses su passé. (L’opposition accusait les conservateurs de favoriser la réaction.) Chim. Transformations chimiques qui se produisent lorsque deux ou plusieurs corps agissent simultanément l' un sur l'autre.
25/10/2009
15/10/2009
12/10/2009
07/10/2009
01/10/2009
Regarde ou tu marche
que j'aime faire bande à part.
Parfois en plein milieu de la journée,
je me retrouvais allongée sur le sol
les yeux dressée.
Ma solitude n'était donc pas un manque,
mais au contraire un trop de relation avec la vie.
30/09/2009
Par ma fenêtre...
"La terre se laisse donc dérober la lumière
Comme elle s’en emplit pour se laver des ombres noires.
Mais nous n’admettons point qu’alors les yeux se trompent.
Nulle erreur: partout voir l’ombre et la lumière,
Voilà leur rôle, mais est-ce ou non la même lumière,
La même ombre passe-t-elle d’un endroit à l’autre
Ou n’est-ce pas plutôt comme nous l’avons dit?
A la raison enfin de faire la différence,
L’ œil ne peut connaitre la nature des choses.
Ainsi n’impute pas aux yeux les défauts de l’esprit."
parut dans et mon oeil's n° 14
23/09/2009
Conjoncture-conjecture-conjonctive
Dans un ancien « mots » Nous écrivions : « Au commencement est le logos et tout est logos. » Plotin. "Au commencement de toutes choses il n’y avait rien."
D’accord ! MAIS ! Plus tard......
...Pour les uns : une dénommée Eurynomé la bien nommée, déesse de toutes choses émergea à poil du bordel - « NON » ! Du chaos. Ne trouvant rien où poser ses pieds elle sépara la mer d’avec le ciel et, solitaire dansa sur les vagues. Elle créa le vent, le frotta dans ses mains et voilà qu’apparut un serpent ; un gros ; Ophion. Elle se remit à trémousser du popotin - (plutôt Allégro/Presto que Adagio/Andante) -devant celui-ci et, lentement, Ophion, envahi par le désir s’unit à elle.
Ensuite ayant pris la forme d’une colombe elle pondit l’œuf universel. Et de cet œuf sortit tout ce qui existe (regardez autour de vous). Ils choisirent comme demeure secondaire le mont Olympe (la classe). Mais ce con d’ Ophion se la péta grave ; genre je suis le père du monde c’est moi le meilleur, plus tard j’aurai une rollex™. Alors la belle danseuse lui écrasa la tête, entre autres sévices, puis l’envoya se faire voir dessous la terre. Et là on peut écrire qu’il l’a eu dans le fion.
...Pour d’autres : moins sexy ; c’est une Terre Mère qui surgit du chaos, pour accoucher d’un gniard : Ouranos (le ciel). - Je vous passe les frères, des mecs mal branlés dont les fameux cyclopes-. Le fiston regardait tendrement sa maman et il fit pleuvoir une flotte fertile sur ses fentes secrètes. Et elle donna naissance à l’herbe, aux fleurs, et aux bestiaux et tout et tout.
Bref toutes ces choses que l’on s’applique aujourd’hui à détruire.
Alors certes, pour la sauver ça ne fait pas très distingué d’annoncer fièrement que l’on pisse sous la douche : mais oublions l’univers ; ramenons ça à l’échelle de la France et sortons notre calculette. Disons qu’un français sur deux fasse cette démarche « pissoyenne » : 30 000 000 de personnes X 11 litres d’eau = 330 000 000 de litres d’eau économisés quotidiennement soit plus de 120 millions de mètres cube par an. Quand même. En plus de l’intérêt écologique de la chose, à 2.60 € le prix moyen du mètre cube d’eau en France, ça fait quand même plus de 300 millions d’euros économisés qui pourraient servir à autre chose. Par exemple acheter le dernier Tel. sans mercure .
...Une autre version de la naissance du monde est que le dieu de toutes choses, et certains l’appellent nature, apparut brusquement dans le chaos, sépara la terre des cieux. Après avoir démêlé les éléments il les mit en bon ordre et il sépara la terre en régions, certaines chaudes, d’autre froides, d’autre tempérées. Il peupla les eaux et la terre et plaça dans le ciel le soleil et tutti quanti. Enfin vint l’homme qui seul de tous les animaux, lève le nez au ciel pour contempler la lune et chante pour faire pousser des tomates. Ainsi ces chercheurs qui ont confié un pied de tomate à des hommes et des femmes, en leur demandant de leur lire des livres à voix haute, tandis que d’autres plants, non attribués, n’ont connu que le silence. Résultat : les voix féminines ont accéléré la pousse des tomates. Les ondes sonores influencent en effet le développement des plantes. Au même titre que la pluie ou la lumière. Ailleurs ; d’autre savants parfument des tomates transgéniques : "rose", "géranium" ou "citronnelle". Ce nouveau genre de solanacées a été préféré par 49 des volontaires, tandis que seuls 29 ont trouvé les normales meilleures. Et encore ; des crânes d’ œuf ont exposé nos sympathiques tomates à des Ondes électromagnétiques. Résultat : elles n’aiment pas ça C’est scientifique . Le G. Ca.Bo. détient même une photo d’un artiste qui les fait pousser carrées. STOP.
Le Groupe Ca.Bo. demande que l’on lâche la grappe à toute la famille des solanacées.
Et le Ca.Bo aboie car la vanne passe...
16/09/2009
15/09/2009
Ma vie privée...Au parc
Résumé: Je suis au parc.
Plus tard les enfants perdent cette « grâce prodigieuse » Ils prennent la pose, mais cela ne réussit plus. L’inconscience, l’innocence, la grâce ont disparu.
Mais ils ne s’en aperçoivent même pas tant "la vie est sans rupture et la transformation silencieuse. (F. Jullien) Et pourtant il faut voir l’enfant faisant ses premiers pas, la basse continue de la joie c’est de sentir à quel point le corps est fait pour ce mouvement (F. Gros) Si loin que l’on aille, si loin que l’on monte, il faut commencer par un simple pas. (shit-t’ao)
BAH...j'observe : - ce genre déplorable des jeunes gens négligés dans les idées de l’époque actuelle- (Proust) ; mais sans que l'esprit soit au travail: je laisse glisser mes regards d'un visage à un autre, d’une robe à un chapeau, sans me laisser accrocher nulle part, en ne retenant jamais qu'une forme, une ligne, une expression. (F. Gros)
Le soleil qui n’est jamais qu’une grosse étoile du matin perce enfin. Aux sources du matin, on trouve l’ouest. Le soleil se lève toujours à l’ouest. C’est notre mémoire qui est à l’est : l’est, C’est la culture et les livres. Il n’y a rien à apprendre du passé parce que alors, c’est répéter les anciennes erreurs... (Thoreau)
Je n’avance pas vite. Mais la précipitation et la vitesse accélèrent le temps qui passe plus vite, et deux heures à se presser écourtent une journée. Le corps avance lentement à pas mesurés, et cette même tranquillité donne à l’esprit congé. Et le doux roulis, sans heurt, des jambes heureuses fait avancer. Sans histoire, sans fantaisie. Où tout est possible. Tout est à vivre. Faire, non pas devenir, mais faire et, en faisant se faire...et n’être rien que ce qu’il s’est fait. (J. Lequin.) Pas de souvenirs à la rigueur une légère espérance qui prendrait la forme d’un nœud à son mouchoir .(J.J. Rousseau)
A suivre....
13/09/2009
11/09/2009
10/09/2009
09/09/2009
Maux-Mots meurent...
Il importe peu d'avoir un beau physique quand on a une belle chimie.
Calcul.
Ecoute l’ Amer
Mes désirs sont désordre.
Portrait:
J’ai le cœur derrière l'oreille.
02/09/2009
Le voyage d'épistémé...!
Obliquement [ blik’ - man ] adv. D’une manière oblique. Fig. D’ une manière
détournée. Qui est de biais, incliné par rapport à la perpendiculaire: ligne
oblique. Fig. Qui manque de franchise: conduite oblique. Anat. Se dit de
différents muscles chez l’homme et les animaux.( Le grand oblique de l’ œil
abaisse le regard, le petit oblique l’élève.)Le muscle oblique externe de l'abdomen ou grand oblique ou tout simplement muscle oblique externe est un muscle large de la paroi latérale ... Regard oblique, fuyant, sournois.
Obliquer v.i. Prendre une direction un peu différente de la direction primitive;
quitter le chemin principal.
L'architecture oblique ou fonction oblique est un mouvement artistique, initié par les architectes Claude Parent et Paul Virilio en 1964, qui se définit comme « la fin de la verticale comme axe d'élévation, la fin de l'horizontale comme plan permanent, ceci au bénéfice de l'axe oblique et du plan incliné »
31/08/2009
Au commencement il y eu des COUAC's!
Collage
Dans cette nuit noire
que nous fait l'histoire
j'avance à tâtons
toujours étonné
toujours médusé:
Je prend mon chapeau
c'est un artichaut
Je caresse un chat
c'est un arrosoir
j'ouvre la fenêtre
pour humer l'air pur
c'est un vieux placard
plein de moisissures
je prend un crapaud
pour un encrier
la bouche d'égout
pour la boîte aux lettres
le sifflet du train
pour une hirondelle
le bruit du moteur
pour mon propre cœur
un cri pour un rire
la nuit pour le jour
la mort pour la vie
les autres pour moi.
poème : J.Tardieu
collage du G. Ca.Bo. (format C.P. )
22/06/2009
collage
Les chaises....a suivre!
Une chaise est un type de mobilier destiné à ce qu’une personne s’assoie dessus ; elle est constituée d’un dossier, parfois de bras, et habituellement de quatre pieds pour soutenir le siège surélevé au-dessus du sol. Un siège sans dossier ni reposes-bras, est un tabouret. Une chaise pour plus d'une personne est un sofa ou un banc. Un repose-pieds séparé pour une chaise s’appelle un ottoman.
Transport à l'oeil's
Vous à genoux, vous vomissiez.
Moi à genoux, je cherchais mes clés.
Nos regards se sont croisés.
Vous revoir ?
Tel. 06 24 14 79 32
Mots Maux Meurent...!
- Quand le silence tombe, les pensées s’évadent du bruit au sein de la solitude.
- A l’horizon de la perspective morale, il y a toujours l’ombre d’un symbole.
- Plutôt qu’enfoncer des portes ouvertes; frappez dans le vide.
- Le présent est formidable. Il m’amène par instant dans des possibilités
de futurs, que je range dans un tiroir dans ma tête.
Toujours le même. Toujours vide.
28/05/2009
Maux Mots Meurent.....!
Les cyclopes regardent, les autres re-regarde.
Tant qu’à pourrir autant murir.
Pour les girouettes je suis un maitre à penser.