25/10/2014

Ma vie privé ..A suivre...



( Je suis en route  pour Auchan ®
….. { nous avalons l'élixir de vie en nous demandant constamment quel est le chemin le plus court vers le bonheur, question dont nous trouvons la réponse dans dieu, les science, l'élixir….)
L épisode précédent ici

    Mais la « religion » de la marque © suffit à attirer. Quand bien même ils ont le sentiment de ne plus avoir à régler leurs affaires sur le divin, ils sont  capables de se fier aux signes des marques et de croire à la vertu des noms, codes ou signaux propres apposés sur le devant des produits… Ils sont  donc toujours des praticiens de croyance. » (Huygue)
Je n’en finis pas de croiser du monde… cancanant sur leurs voisins, Ils se distraient avec toutes sortes de gadgets et de trucs, se noie  sans cesse dans l’information, les texto, la communication et la distraction tous azimuts pour tenter d’oublier : où ils sont et ce qu’ils sont.
Au-dessus d’une mer de tee-shirt que personne ne lit, (Th. Pynchon) le regard fuyant du menteur, l’éclat dans la pupille de l’alcoolique anonyme, des enfant qui courent,  des chiens qui ne pense qu’ à regagner leurs panier et des couples de vieux qui donne l impressions d’avoir échappé à quelque chose de terrifiant " Samarcande ?". (Barico) Un seul coup d’œil à ces visages et je sais qu’ils sont coupables de tout ce que je puisse imaginer. Mais qui est pressé d’imaginer ? Je n’en croie  plus mes yeux… Même sous une forte lumière il n’y à rien de positif à voir. Pas d’échappatoire. Pour personne…aveugles à ce que je  voie, et je revendique cet aveuglement comme preuve de mon extrême modernité : je suis affranchis des responsabilités scabreuses, et n’entend du témoignage de mes yeux que des indications de plaisir ou bien de déplaisir. S. Thiéry ). de fait ils ne nous ont pas laissé grand-chose en quoi l’on puisse croire, n’est-ce pas ?… fût-ce l’incroyance. Je ne puis croire à rien qui soit plus vague qu’un être humain. (G. Greene)

     C’est  pourri de A jusqu’à Z.
Mieux valait ne jamais être né – ne jamais avoir désiré quoi que ce soit, ne jamais avoir rien espéré.
A la question «  Ou vivez-vous? » - Je vis dans ma tête et, les bons jours, dans ma peau aussi. Je ne suis pas sûr de savoir ce que «chez moi» veut dire.
Et encore …(…)  Je pense à cette théorie sur les observatoires érigés chacun en un point différent de l’ Histoire depuis lesquels les gens se parlent sans pouvoir se comprendre, je sais  que même le dialogue des vrais amoureux, si les dates de leurs naissances sont trop éloignées, n'est que l'entrelacement de deux monologues qui gardent pour l'autre une grande part d'incompris. C'est pourquoi, par exemple, je déforme  les noms des hommes célèbres d'autrefois pour la parodie, à dessein, pour faire comprendre à tout le monde que je  ne porte  pas le moindre intérêt à ce qui s’est passé avant le temps de ma propre vie. ( Kindera)

     A avancer ainsi dans la journée. L’impression augmente avec les minutes, l’heure, puis les heures qui passent, aucun mot précis ne la définit, et au bout de quelques heures celui ou celle qui la ressent n’en trouve pas d’autre que celui de «gâchis».
( Les heures s’additionnent à un point tel que la nuit tombe, qu’ un nouveau matin se lève, qu’une nouvelle nuit tombe, l’impression s’accroît, envahit, tourne à la sensation d’irrémédiable, le mot lui correspond moins, ça va au-delà là, ça dure ,ça s’installe, ça se compte maintenant en journées, le quotidien en est altéré au point d’en être décoloré, l’impression, qui n’en est plus une, tourne au sentiment que tout aurait pu être merveilleux, ou au moins agréable. On ne parle plus de «gâchis», on ne parle plus. On est résigné à ce que nos journées ce ne soit «que ça», certains pensent même déjà au passé «ce n’était que ça». Les journées s’ajoutent les unes aux autres.)  ( DeBæcque  )
 Plus nous gagnons du temps plus le temps nous échappe et plus nous en somme affamés Il faut allez de plus en plus vite pour rester sur place.
Ou alors ! Ce laissé tenter par la distorsion spatiale et temporelle. ce frisson de la déconnexion, les secondes manquées sur le trottoir comme un hoquet de temps perdu. (Donna tartt)

A suivre…..

05/10/2014

Poüêt z-y une Plume

Je rêve du vide. 

      Des étoiles scintillent, comme des tessons
                                        sur une plage de sable noir.

        Les lumières meurent -long
                                                  - renaissent - court
                               -meurent- long-.



 
   Il
              Pleut
                                 Sous        
                                              Moi. 




              Il n y a pas de sons dans l’ espace...


        les phonèmes de la Solitude
               sont des cris blanc
                               &
             La Tude est dans mon lit.
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