Le départ des drôles d oiseaux.
Collage/ détournement d' une plaquette publicitaire.
27/11/2014
16/11/2014
02/11/2014
25/10/2014
Ma vie privé ..A suivre...
( Je
suis en route pour Auchan ®
….. { nous avalons l'élixir de vie en nous demandant
constamment quel est le chemin le plus court vers le bonheur, question dont
nous trouvons la réponse dans dieu, les science, l'élixir….)
L épisode précédent ici
Mais la « religion » de la marque © suffit
à attirer. Quand bien même ils ont le sentiment de ne plus avoir à régler leurs
affaires sur le divin, ils sont capables
de se fier aux signes des marques et de croire à la vertu des noms, codes ou
signaux propres apposés sur le devant des produits… Ils sont donc toujours des praticiens de croyance. » (Huygue)
Je n’en
finis pas de croiser du monde… cancanant sur leurs voisins, Ils se distraient
avec toutes sortes de gadgets et de trucs, se noie sans cesse dans l’information, les texto, la
communication et la distraction tous azimuts pour tenter d’oublier : où ils
sont et ce qu’ils sont.
Au-dessus
d’une mer de tee-shirt que personne ne lit, (Th.
Pynchon) le regard fuyant du menteur, l’éclat dans la pupille de
l’alcoolique anonyme, des enfant qui courent,
des chiens qui ne pense qu’ à regagner leurs panier et des couples de
vieux qui donne l impressions d’avoir échappé à quelque chose de terrifiant
" Samarcande ?". (Barico) Un
seul coup d’œil à ces visages et je sais qu’ils sont coupables de tout ce que
je puisse imaginer. Mais qui est pressé d’imaginer ? Je n’en croie plus mes yeux… Même sous une forte lumière il
n’y à rien de positif à voir. Pas d’échappatoire. Pour personne…aveugles à ce
que je voie, et je revendique cet
aveuglement comme preuve de mon extrême modernité : je suis affranchis des
responsabilités scabreuses, et n’entend du témoignage de mes yeux que des
indications de plaisir ou bien de déplaisir. ( S. Thiéry
).
de fait ils ne nous ont pas laissé grand-chose en quoi l’on puisse croire,
n’est-ce pas ?… fût-ce l’incroyance. Je ne puis croire à rien qui soit plus
vague qu’un être humain. (G. Greene)
C’est pourri de A jusqu’à Z.
Mieux
valait ne jamais être né – ne jamais avoir désiré quoi que ce soit, ne jamais
avoir rien espéré.
A la question « Ou
vivez-vous? » - Je vis dans ma tête et, les bons jours, dans ma peau
aussi. Je ne suis pas sûr de savoir ce que «chez moi» veut dire.
Et encore
…(…) Je pense à cette
théorie sur les observatoires érigés chacun en un point différent de l’
Histoire depuis lesquels les gens se parlent sans pouvoir se comprendre, je
sais que même le dialogue des vrais
amoureux, si les dates de leurs naissances sont trop éloignées, n'est que
l'entrelacement de deux monologues qui gardent pour l'autre une grande part
d'incompris. C'est pourquoi, par exemple, je
déforme les noms des hommes célèbres
d'autrefois pour la parodie, à dessein, pour faire comprendre à tout le monde
que je ne porte pas le moindre intérêt à ce qui s’est passé
avant le temps de ma propre vie. ( Kindera)
A avancer ainsi dans la
journée. L’impression augmente avec les minutes, l’heure, puis les heures qui
passent, aucun mot précis ne la définit, et au bout de quelques heures celui ou
celle qui la ressent n’en trouve pas d’autre que celui de «gâchis».
( Les
heures s’additionnent à un point tel que la nuit tombe, qu’ un nouveau matin se
lève, qu’une nouvelle nuit tombe, l’impression s’accroît, envahit, tourne à la
sensation d’irrémédiable, le mot lui correspond moins, ça va au-delà là, ça
dure ,ça s’installe, ça se compte maintenant en journées, le quotidien en est
altéré au point d’en être décoloré, l’impression, qui n’en est plus une, tourne
au sentiment que tout aurait pu être merveilleux, ou au moins agréable. On ne
parle plus de «gâchis», on ne parle plus. On est résigné à ce que nos journées
ce ne soit «que ça», certains pensent même déjà au passé «ce n’était que ça».
Les journées s’ajoutent les unes aux autres.)
( DeBæcque )
Plus nous gagnons du temps
plus le temps nous échappe et plus nous en somme affamés Il faut allez de plus
en plus vite pour rester sur place.
Ou
alors ! Ce laissé tenter par la distorsion spatiale et temporelle.
ce
frisson de la déconnexion, les secondes manquées sur le trottoir comme un
hoquet de temps perdu. (Donna tartt)
A
suivre…..
23/10/2014
05/10/2014
Poüêt z-y une Plume
Je rêve du vide.
Des étoiles scintillent, comme des tessons
sur une plage de sable noir.
Les lumières meurent -long
- renaissent - court
-meurent- long-.
Il
Pleut
Sous
Moi.
Il n y a pas de sons dans l’ espace...
les phonèmes de la Solitude
sont des cris blanc
&
La Tude est dans mon lit.
*******************************************
Des étoiles scintillent, comme des tessons
sur une plage de sable noir.
Les lumières meurent -long
- renaissent - court
-meurent- long-.
Il
Pleut
Sous
Moi.
Il n y a pas de sons dans l’ espace...
les phonèmes de la Solitude
sont des cris blanc
&
La Tude est dans mon lit.
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20/09/2014
Les maux de Luis Demoi
_ La peur c'est un pied dans le présent l'autre dans le futur
conditionnelle .
_ Vue d'ici ! c'est bien vue,
A vue de nez! ça à l'air d allez ?
Les pieds dedans ! Ce n'est pas ainsi qu'il voyais les choses.
Les pieds dedans ! Ce n'est pas ainsi qu'il voyais les choses.
_ Magasin de souvenirs en solde pour Alzheimer.
_ Les taiseux qui crèvent la bouche ouverte me laissent sans voix .......
_ Prise de pelle
Creusez l ignorance à grandes pelletées d ' imagination et
Creusez l ignorance à grandes pelletées d ' imagination et
vous obtenez un trou sans fond, juste à côté de la plaque.
17/09/2014
10/09/2014
02/09/2014
05/07/2014
03/07/2014
02/07/2014
25/06/2014
12/06/2014
28/05/2014
12/05/2014
Luis Demoi
_ Le vide c'est ce qu'il reste quand on à ôté
le rien du plein.
*********************************
_ A la lumière intérieure de mon p'tit véhicule,
je double mes métamorphoses.
***********************************
_ Le miroir reste de glace devant la bougie qui pleure.
le rien du plein.
*********************************
_ A la lumière intérieure de mon p'tit véhicule,
je double mes métamorphoses.
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_ Le miroir reste de glace devant la bougie qui pleure.
Pouêt z-y une plume
Vague à larmes
Le sable mouvant du tempsPlage gardée
Mouillée salée
Sous les galets bruissants
des marées
garde les traces de mon passé.
******************************
Voguant sur ma mer intérieure,
dans l'oscillation du temps:
le vent bruissant sur le plancher vertical des ruminants.....
accompagnait à la surface de celle-ci
Le piétinement de mes pensées
Et je laissais mes réflexions pour la contemplation.
03/04/2014
12/03/2014
04/03/2014
Les mots de Luis demoi
Classe touriste
En retard d'un wagon, je file le train à l' instant présent.
En retard d'un wagon, je file le train à l' instant présent.
Pourquoi prendre des drogues? la réalité est proprement hallucinante.
Pour ne pas oublier mon couvre-chef, j'ai fait quatre nœud à mon mouchoirs.
Nouvelle vagues
Des ombres nouvelles prennent formes sur le drap blanc de mon paradigme.
22/02/2014
16/02/2014
les mots de Luis Demoi...
De l'un l'autre
Le sourire d'un non-dit d'une autre bouche
Le sourire d'un non-dit d'une autre bouche
Étudier la question évite de donner une réponse.
l'homme n'est qu' un roseau, dont-on fait les pipeaux. C'est un roseau pipeautant.
Ils sont morts, ils ne le savent pas. Ils devraient sans douter, leurs bières à la mains
15/02/2014
17/01/2014
15/01/2014
Ma vie privé....A suivre
Dernier épisode
ici http://etmonoeils.blogspot.fr/2012/05/ma-vie-prive-asuivre.html
...Tiens je croise Augustin, son élixir de vie à la main. Ce remède excellent pour la digestion, ce médicament revigorant et fortifiant, efficace contre les désagréments, les brulures à la poitrine, les nausées, les aigreurs, cela tout le monde le sait, il n'y a qu'a lire les journaux, c'est confirmé par les étranger aussi bien que par les gens du cru, les médecins…. sa démarche tient de celles de l’écrevisse, du crapaud, de l’invalide du travail, du poivrot licencié, du canard amoureux et des premiers pas de bébé… tous recommandent cet élixir ; l'équivalent de cinq ou six verres au goulot et vous voilà tout à fait libéré. Il oscille tantôt d’avant en arrière, puis chavire sur la gauche, donne un coup de rein, tressaute sur la droite, recule de cinq centimètres, progresse de dix-huit, vire de bord, veut à toutes forces se ruer sur le trottoir, se ravisse, préfère menacer une voiture d’enfants…"R. Fallet"
ici http://etmonoeils.blogspot.fr/2012/05/ma-vie-prive-asuivre.html
....De son vivant, la ville sentait! , le poisson..., la
sciure... les vernis..., la frite..., l’égout.., le sang... et, partout, les
fumées des bagnoles, des usines et des chauffages. On nous fait une ville
tranquille. Les pistes cyclables n’auront jamais le charme des rues encombrées
et l’ennui envahit la ville privée des fumées, des odeurs et des bruits... Nous
devrions rêver davantage. Au siècle où nous vivons, la réalité n’est pas une
chose à regarder en face. "G. Grenne"
Chacun essaie de se cantonner à un espace restreint, palpable. Il y a de
quoi vous donner le tournis quand on a conscience de l’immensité du monde. Ou
de sa propre petitesse. "P.J. Gutierrez"
Cette foule de grincheux devrait réfléchir à ces quelques lignes du
chapitre V "d’Émile."
«Les hommes disent que la vie est courte, écrit-il, et je vois qu’ils s’efforcent de la rendre telle. Ne sachant pas l’employer, ils se plaignent de la rapidité du temps, et je vois qu’il coule trop lentement à leur gré. Toujours pleins de l’ objet auquel ils tendent, ils voient à regret l’ intervalle qui les en sépare :l’ un voudrait être à demain, l’ autre au mois prochain, l’ autre à dix ans de là; nul ne veut vivre aujourd’hui, nul n’ est content de l’ heure présente, tous la trouvent trop lente à passer[…],et il n’ y en a peut-être pas un qui n’ eût réduit ses ans à très peu d’ heures s’il eût été le maître de noter au gré des son ennui celles qui lui étaient à charge, et au gré de son impatience celles qui le séparaient du moment désiré.» .
«Les hommes disent que la vie est courte, écrit-il, et je vois qu’ils s’efforcent de la rendre telle. Ne sachant pas l’employer, ils se plaignent de la rapidité du temps, et je vois qu’il coule trop lentement à leur gré. Toujours pleins de l’ objet auquel ils tendent, ils voient à regret l’ intervalle qui les en sépare :l’ un voudrait être à demain, l’ autre au mois prochain, l’ autre à dix ans de là; nul ne veut vivre aujourd’hui, nul n’ est content de l’ heure présente, tous la trouvent trop lente à passer[…],et il n’ y en a peut-être pas un qui n’ eût réduit ses ans à très peu d’ heures s’il eût été le maître de noter au gré des son ennui celles qui lui étaient à charge, et au gré de son impatience celles qui le séparaient du moment désiré.» .
«Avant, on disait déjà que c'était
mieux avant. Faudrait quand même vraiment savoir quand ça a commencé à merder. »
L’année dernière? Non, avant. "Stéphane Ribeiro"
Non, même si nous avons «Watture» pour voiture électrique, ces mots sont
surtout le reflet de la vie, avec ces gens qui ertetent et vont prendre un
midwich chez le casse croûtier avec leur adolechiant. À CONTRESENS Hâte-toi de jouir! Le temps qui nous est accordé
est donc trop court parce que nous ne jouissons que de très peu de jours, très
peu d’heures de notre vie. Le reste du temps nous attendons, nous nous
emmerdons. "MARCEL AIACUB "
Finalement, c’est comme ça qu’on vit, par petits bouts qu’on emboîte les
uns aux autres, à toutes les heures, jour après jour, à chaque étape, à empiler
les gens d’ici ou là en soi. Et pour terminer on se retrouve avec une existence
en forme de casse-tête chinois."G. Grenne"...
...Tiens je croise Augustin, son élixir de vie à la main. Ce remède excellent pour la digestion, ce médicament revigorant et fortifiant, efficace contre les désagréments, les brulures à la poitrine, les nausées, les aigreurs, cela tout le monde le sait, il n'y a qu'a lire les journaux, c'est confirmé par les étranger aussi bien que par les gens du cru, les médecins…. sa démarche tient de celles de l’écrevisse, du crapaud, de l’invalide du travail, du poivrot licencié, du canard amoureux et des premiers pas de bébé… tous recommandent cet élixir ; l'équivalent de cinq ou six verres au goulot et vous voilà tout à fait libéré. Il oscille tantôt d’avant en arrière, puis chavire sur la gauche, donne un coup de rein, tressaute sur la droite, recule de cinq centimètres, progresse de dix-huit, vire de bord, veut à toutes forces se ruer sur le trottoir, se ravisse, préfère menacer une voiture d’enfants…"R. Fallet"
Nous passons notre existence à la recherche d'une
solution, d'une chose qui nous console, nous apporte le bonheur et éloigne de
nous tous les maux. Il nous est déjà assez difficile de nous contenter
d'exister et , au lieu de chercher, nous avalons l'élixir de vie en nous
demandant constamment quel est le chemin le plus court vers le bonheur,
question dont nous trouvons la réponse dans dieu, les science, l'élixir.
« J.K.
Stefansson »
...A suivre
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